- EAN13
- 9782760649033
- Éditeur
- Presses de l'Université de Montréal
- Date de publication
- 27/10/2023
- Collection
- PUM
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Le monde d'après
Les conséquences de la COVID-19 sur les relations internationales
Frédéric Mérand, Jennifer Welsh
Presses de l'Université de Montréal
Pum
Autre version disponible
La COVID-19 a provoqué la crise mondiale la plus importante du 21e siècle
naissant. Pour certains, les répercussions ont été rapides et dramatiques, la
pandémie poussant des dizaines de millions de personnes dans la pauvreté et
générant une insécurité alimentaire extrême. Pour d’autres, les
transformations bouillonnent encore sous la surface et des questions demeurent
quant à savoir si les changements de société qu’elle a induits perdureront. Le
retour de la géopolitique, avec notamment la guerre en Ukraine et les tensions
en Asie, complexifie le portrait. Dès mars 2020, on a vu une explosion
d’analyses sur les conséquences à court et à long terme de la « COVID longue »
sur les relations internationales et établi des parallèles avec l’effondrement
de l’Europe des années 1930, raconté par Stefan Zweig dans ses célèbres
mémoires Le monde d’hier. Alors que la plupart des commentateurs font preuve
de pessimisme, certains espèrent des changements positifs. De fait, cette
crise sans précédent nous force à réfléchir à la manière dont, dans le « monde
d’après », nous pouvons améliorer l’économie, la justice sociale,
l’environnement, les relations humaines, la santé et les institutions
politiques ou à faire en sorte qu’elles ne se détériorent pas davantage. Dans
ce livre, une cinquantaine de professeurs des quatre universités
montréalaises, parmi les meilleurs experts de leur domaine, braquent le
projecteur sur l’état post-COVID des relations internationales. Ils proposent
des idées progressistes, pragmatiques et fondées sur les sciences sociales qui
pourraient améliorer la coopération internationale, la sécurité et la
prospérité durable après la fin de la pandémie.
naissant. Pour certains, les répercussions ont été rapides et dramatiques, la
pandémie poussant des dizaines de millions de personnes dans la pauvreté et
générant une insécurité alimentaire extrême. Pour d’autres, les
transformations bouillonnent encore sous la surface et des questions demeurent
quant à savoir si les changements de société qu’elle a induits perdureront. Le
retour de la géopolitique, avec notamment la guerre en Ukraine et les tensions
en Asie, complexifie le portrait. Dès mars 2020, on a vu une explosion
d’analyses sur les conséquences à court et à long terme de la « COVID longue »
sur les relations internationales et établi des parallèles avec l’effondrement
de l’Europe des années 1930, raconté par Stefan Zweig dans ses célèbres
mémoires Le monde d’hier. Alors que la plupart des commentateurs font preuve
de pessimisme, certains espèrent des changements positifs. De fait, cette
crise sans précédent nous force à réfléchir à la manière dont, dans le « monde
d’après », nous pouvons améliorer l’économie, la justice sociale,
l’environnement, les relations humaines, la santé et les institutions
politiques ou à faire en sorte qu’elles ne se détériorent pas davantage. Dans
ce livre, une cinquantaine de professeurs des quatre universités
montréalaises, parmi les meilleurs experts de leur domaine, braquent le
projecteur sur l’état post-COVID des relations internationales. Ils proposent
des idées progressistes, pragmatiques et fondées sur les sciences sociales qui
pourraient améliorer la coopération internationale, la sécurité et la
prospérité durable après la fin de la pandémie.
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